L’aube se levait sur Rome, baignant les temples et les marchés d’une lumière doré. La ville s’éveillait dans un chahut maîtrisé, les marchands installant leurs étals sous l’œil attentif des patriciens qui arpentaient les rues pavées. Mais pour Marcus Flavius, ce matin n’avait rien d’ordinaire. La voyance avait une fois de plus laissé sa marque sur l'existence. La tablette posée sur son bureau ne portait aucune empreinte de son écriture, et néanmoins, tout mot semblait faits de sa qui est à vous index. La voyance, qui jusque-là lui révélait des des fêtes extérieurs, avait exposé une évidence personnelle et infaillible. Ce ajour serait le dernier où il franchirait les portes du Sénat. La banalité de ce divination pesait sur lui tels que une congé immuable. Les prédictions enseignées s’étaient incomparablement effectuées. La voyance s’était manifestée marqué par mille silhouette à travers l’histoire de Rome, par le arnaque des oiseaux, le décodage des entrailles ou l’interprétation des songes. Mais jamais elle ne s’était imposée avec une telle rigueur, une telle limpidité. Chaque lettre tracée dans la encaustique semblait déjà appartenir au passé, comme par exemple si ce futur n’était qu’un souvenir en attente d’être éprouvé. Il ferma les yeux une période, cherchant une façon d’échapper à bien cette fatalité. La voyance lui avait donné un apprendre qu’il n’avait jamais demandé. Il avait cru don l’utiliser pour déchiffrer le macrocosme, anticiper les jeux politiques, mais il comprenait à l'heure actuelle qu’elle ne lui avait jamais appartenu. Il n’en était pas le chef, juste l’instrument. Le générations continuait son cours, blasé à ses pensées. La grande ville s’animait par-dessous ses fenêtres, et le Sénat l’attendait. La voyance avait parlé, mais il ne pouvait pas s'éterniser enfermé dans la émoi d’un destinée qu’il ne pouvait empêcher. Il s’habilla légèrement, chaque geste alourdi par le poids de la prédiction. Les rues de Rome lui semblèrent diverses dans ce cas qu’il les traversait, à savoir s’il marchait déjà dans un souvenir effacée. La voyance ne lui laissait aucune sorte de décision, tout détail lui paraissant teinté d’une signification mystérieuse. Les réparation qu’il surprenait sur son passage résonnaient avec une étrangeté indication, chaque physionomie croisé lui apparaissant en aussi bien qu' un défendant inconscient de sa destin. À technique poétique qu’il approchait du Sénat, une problématique s’imposait à bien lui : la voyance dictait-elle son futur ou lui laissait-elle le choix d’en changer la suite ? Les sages avaient débattu du futur et du autonomie pendant les millénaires, mais aucune sorte de ne pouvait répondre à ce domaine avec la même truisme que lui. Il avait aperçu colossalement de prédictions s'accomplir pour croire qu’il pouvait s’en chasser. Les portes massives du Sénat s’ouvrirent devant lui, et l’ombre fraîche des colonnades l’enveloppa. L’agitation habituelle régnait dans la forte réunion, les sénateurs discutant des maison de l’Empire marqué par l’œil vigilant des scribes et des orateurs. La politique suivait son distinction immuable, indifférente aux dilemmes employés. Il prit sa place à son bureau, le cœur battant au rythme des informations créés sur la plaque laissée dans son bureau. La voyance lui avait logé un dernier quantième de conscience, une sacrée sujet de comprendre ce qu’il n’avait jamais cherché à savoir. Mais à cet imminent, il comprit que le résultat ne résidait pas dans la phobie. Si la voyance lui avait indiqué sa disparition, c’était par contre pour lui associer la possibilité de se mettre à la caractère dont il affronterait son destinée. Le Sénat poursuivait ses délibérations, les voix s’élevant dans des controverses qui lui paraissaient désormais dérisoires. Les arbitrages prises ici influençaient le futur de Rome, mais zéro d’entre elles ne pouvait rivaliser avec la vérité qu’il portait en lui. Il observa une extrême fois la amphi, burinant tout détail dans sa évocation comme s’il contemplait une fresque dont il connaissait déjà la délicat. Un frisson parcourut son échine. La voyance n’était non seulement un regard apprécié sur le futur. Elle était un style, une empreinte laissée dans les siècles que individu ne pouvait améliorer. Il se redressa légèrement, sentant le poids de la prédiction se alléger en une étrange quiétude. Il n’avait plus anxiété. L’heure viendrait où la voyance s’accomplirait. Mais tant sur le plan qu’elle ne l’avait pas fait, il était encore maître de celui-ci pressant.
Les ombres s’étiraient sur les murs de pierre, alors que l'obscurité tombait sur Rome, enveloppant la grande ville d’un rideau silencieux. L’air était lourd, invariable, tels que si le temps lui-même suspendait son fil en science-fiction de l’inéluctable. Marcus Flavius avançait d’un pas mesuré, sentant à tout instant le poids indisctinct de la voyance dissimuler sur ses épaules. La ruelle où il se trouvait n’était pas un déviation contretemps, mais un passage obligé, un couloir d’ombres menant rythmique une subtil déjà inscrite quelque part, dans la cire ou dans l’éther du sort. Les bruits du Sénat semblaient déjà appartenir à une nouvelle être, une époque ancienne avec lequel il n’était plus qu’un pensée errant. La voyance l’avait mené ici sans qu’il ne puisse comprendre motivation. Il avait espéré, un moment, qu’en comprenant le destin, il semble pouvoir en rectifier le cours. Mais chaque pas qu’il faisait prouvait le antagonique. Il ne faisait qu’avancer poésie l’aboutissement d’une inspiration gravée correctement premier plan qu’il ne soit en capacité de la décoder. Les perles des murs étaient tièdes par-dessous la caresse du vent nocturne, comme par exemple si elles avaient absorbé la thermométrie par 24h pour la restituer à celles qui passaient. Elles semblaient chargées de souvenance, porteuses de l’histoire de Rome et de ses innombrables tragédies. La voyance ne s’adressait d'une part aux jeunes femmes, elle imprégnait les régions, s’inscrivait dans l’architecture, dans les vestiges du passé et les ruines future. Les torches, à l'extérieur principale, vacillaient au loin, projetant des éclats incertains sur les pavés. Le silence était devenu pesant, annonciateur d’un basculement indiscernable. Marcus Flavius comprenait dès maintenant ce que signifiait formellement la voyance : elle n’offrait ni relâche ni échappatoire. Elle ne promettait pas une option au destin, mais en révélait la précision suprême. Il s’arrêta un moment, son regard se perdant dans l’obscurité. La voyance ne lui avait jamais semblé entre autres définitive. Il n’avait jamais cherché ce nous guider, jamais souhaité englober le futur éclore par-dessous ses yeux premier plan même qu’il n’advienne. Mais maintenant qu’il le possédait, il réalisait que l’ignorance était une bénédiction. Connaître notre propre destin ne servait qu’à le véhiculer plus inévitable encore. Une présence se dessina à six ou sept pas, une silhouette se fondant dans les ténèbres de la ruelle. L’espace d’un instant, Marcus Flavius crut encore pouvoir asphyxier, reculer, contourner ce qui devait affecter. Mais il savait que la voyance ne lui laissait pas d’alternative. S’il était ici, en cet pendants carré, c’est parce qu’il devait y sembler. Rien de ce qu’il devrait favoriser n’aurait changé ce moment. Un frisson parcourut son échine. La nuit romaine, d’ordinaire si bruyante, était devenue insouciant à sa présence. Aucun écho de pas ne résonnait plus, aucune sorte de démon de vent ne traversait les rues. Tout était figé, notamment si le monde international retenait son fantôme en attendant l’accomplissement de la clairvoyance. Il posa une main sur le mur touchant à lui, cherchant une ancre, une certificat qu’il existait toujours cet instant fragile avant que la voyance ne s’accomplisse totalement. Mais il ne ressentit que la pierre froide, indifférente à son destin. Les derniers messages réalisés sur la tablette du matin lui revinrent en rappel, intelligent et implacables. La voyance ne s’était jamais trompée. Chaque prédiction s’était faite avec une assiduité troublante. Il en avait vu la confirmation jour derrière lumière, incapable d’y revenir. La lignes dans l’ombre s’avança d’un pas. Marcus Flavius ne détourna pas les yeux. Il savait que l’instant était venu. La voyance avait parlé, et elle n’accordait jamais de seconde chance. La nuit absorba son dernier génie, et Rome, irrésistible, poursuivit son existence.